"Ah ouais! Comme ça t'as dit que j'arriverais pas à te choper? Et toc!" Shaun Ellis sack Tom Brady
Quelle semaine, quel week end, quels matchs! J’espère que vous n’en avez pas manqué une miette parce que des rencontres comme ça ce n’est pas toutes les semaines qu’on les voit. Première chose à dire: Aaron Rodgers est un monstre. Je pense qu’on peut retrouver dans mes twits ou message sur Facebook en 2008 il avait passé 308 yards et trois Touchdowns aux Lions j’avais dit qu’il deviendrait un très grand Quarterback. Cette année il gagne en playoffs pour la première fois et avec la manière. Contre les Falcons il a été impérial. Deuxième chose, Nous retrouvons en finales de conférence les trois meilleures défense contre la course (respectivement les Steelers, les Bears et les Jets) ainsi que la cinquième défense contre la passe, les Packers. Ce n’est pas rien. Lors de la pre-season, Warren Sapp de NFL Network avait classé ses quatre équipes comme les quatre meilleures défenses de la ligue. L’adage qui dit que « l’attaque marque les points alors que la défense gagne les matchs » se révèle justifiée à nouveau. Finalement, les Patriots ne sont pas une équipe de Playoffs. Ils ont été surpassé dans tous les domaines de jeu par le coaching de Rex Ryan et par le coverage quasi sans faute des secondaries des Jets. Tom Brady, malgré son impressionnant temps de pocket n’avait pas de cibles. Le Running Back Woodhead a donné quelque sueurs froides au staff de New York mais il n’aura pas réussi à être le Darren Sproles des Colts en 2008. Pour rappel en Divisional cette saison-là, les Chargers avaient éliminé Indianapolis, enfin Darren Sproles tout seul avait éliminé Manning et ses copains. Nous sommes à un match du Super Bowl, les deux billets pour Dallas vont se gagner la semaine prochaine à Pittsburgh et à Chicago. Le nord a su terrassé le sud cette année et avec la manière. Conference Finals here we come!
Le retour sur terre n'a pas dû être facile pour Matt Hasselbeck et ses coéquipiers
Pour ceux qui ont suivi toute la saison avec nous, vous vous souvenez certainement des pronostiques que nous avions fait lors de la week 13 au tout début décembre. Première chose, hormis le match entre les Ravens et les Chiefs nous avons eu tout juste en AFC, la finale de conférence est telle qu’annoncée. Par contre en NFC ça se gâte, aucune des deux équipes en finale n’aurait dû passer le premier tour, pire encore les Packers ne faisaient même pas les playoffs pour nous. Il faut dire qu’au moment où nous avions écrit l’article, il fallait que Green Bay gagne l’ensemble des parties restantes, chose qui n’a pas été le cas et ils peuvent remercier les Eagles d’avoir battu les Giants aux Meadowlands lors de la Week 15 sinon c’était fini pour eux. Comme quoi en Football Américain une saison se joue à peu de chose. Concernant Chicago et pour être parfaitement honnête, nous avons peu suivi l’équipe avant la quinzième semaine au moment où ils se qualifient pour les Playoffs. En s’intéressant un peu plus à l’équipe on voit quel rouleau compresseur cela peut être. Jay Cutler est sûrement le plus instable des Quarterback de la ligue, il reste néanmoins capable de grosses performances comme ce dimanche face aux Seahawks.
Chicago Bears 35 – Seattle Seahawks 24
Premier drive pour Chicago, premier Touchdown. Nice life in Illinois
Ce score ne reflète pas du tout la physionomie de la partie, les Bears menaient 28 à 3 à l’entame du quatrième quart. A 10min de la fin, Seattle revenait à 18 points pour finalement finir en fanfare et obtenir un score un peu moins humiliant que prévu. Sérieusement, avant la reprise de la dernière période, Seattle avait dû punter huit fois et pris un field goal, sur les huit punts, un seul était en zone de Chicago, ce qui signifie qu’en neuf drives ils n’ont passé le milieu du terrain qu’une seule fois. A la mi-temps, en sept drives ils n’ont obtenu que cinq 1st down dont un grâce à une pénalité, 96 yards en total. La conclusion à tout cela, et sans enlever du mérite aux Bears, Seattle est incapable de gagner en dehors du Qwest Field, cette année ils n’ont gagné que deux matchs à l’extérieur (Chicago et Arizona), le miracle à Chicago n’allait pas se reproduire une deuxième fois, l’année passée ils sont sorti une fois vainqueur sur la route, c’était à Saint-Louis qui avait perdu tous ses matchs à domicile. Pete Caroll est un excellent coach qui fait beaucoup de bien à la franchise suite à la période de troubles après le départ de Holmgren. Mais quand même, il y a quelque chose à faire. Ils ont des excellents Secondaries et Linebackers même si aucun ne va au Pro Bowl c’est la seule force qu’ils ont, il faut travailler sur l’attaque. Marshawn Lynch et Jutin Forsett ont cumulé 1000 yards à la course entre les deux cette année, Mike Williams est un des top-receveur de la ligue. Si Pete Caroll n’arrive pas à faire de cette équipe quelque chose l’année prochaine il se fera voler la politesse par les Rams et ils pourront dire adieu aux playoffs pendant plusieurs saisons.
Chicago va accueillir Green Bay la semaine prochaine. La grosse force de Chicago c’est la défense contre la course et le pass rush. L’arrivée de Julius Peppers (Carolina Panthers) l’année dernière a été un sacré plus pour la franchise de l’Illinois. Il a aidé à stabiliser les trois secteurs de jeu défensif. Maintenant le rouleau compresseur est en marche. On ne court pas contre les Bears! Le temps de Pocket est limité contre les Bears! Il faut pas avoir peur de se faire mal contre les Bears! Voilà quel devrait être le leitmotiv de l’équipe aujourd’hui. Le petit talon d’Achille de Chicago reste les Cornerbacks. Aaron Rodgers on sait qu’il sera présent. Avec la blessure de Ryan Grant il a dû prendre ses responsabilités. C’est un sacré challenge qui attend Charles Tillman et D.J. Moore dimanche prochain. Là ils ont eu affaire au lanceur de cloche Hasselbeck, facile à défendre vu qu’ils n’étaient pas pris de vitesse par les receveurs. Cette fois le jeu va se décaler vers le centre, il faudra couvrir les ailes et le slot. Driver, Nelson, Jones et Jennings vont venir en force. Les Linebackers auront du boulot en couverture et il faudra être extrêmement efficace en Blitz pour arrêter la machine Packers. Du côté de l’attaque, on l’a déjà dit et redit, la performance de Jay Cutler dépend de son aptitude à rester concentré tout au long du match. S’il lance bien au début ça devrait dérouler, par contre si la ligne défensive et les Linebackers de Green Bay commencent le même show que face aux Eagles, il ne tiendra pas le choc. Les Packers ont de la peine contre la course, mais Matt Forte et Chester Taylor sont de loin pas le meilleur duo de Running Back de la ligue. Nous le reverrons avec l’analyse de Green Bay, mais ce match Chicago le gagne en défense alors que Green Bay le gagne en attaque.
Atlanta Falcons 21 – Green Bay 48
John Abraham (DE) a manqué trop de tackles durant ce match, beaucoup trop
Dans cette rencontre il y avait un match annoncé: Aaron Rodgers contre les Secondaries des Falcons. Pas besoin de vous faire un dessin le Quarterback a gagné. 28 First Down dont 18 à la passe en neuf drives, 31 passes réussies sur 36 tentées pour 366 yards, trois Touchdowns et un rating impressionnant: 136.8 alors que je vous rappelle le maximum possible est de 158.3 (nous avions parlé du passer rating lors de la Week 10). Michael Turner n’a non plus rien pu faire à la course. Les Packers étaient trop présents, partout, tout le temps. En regardant certaines statistiques avant le début du match je me disais que Green Bay n’aurait pas son mot à dire. Rien que le fait que Matt Ryan n’avait perdu que deux matchs au Georgia Dome pour vingt victoires, cela imposait le respect. De plus le coach McCarthy est habitué à faire passablement d’erreur de coaching en playoffs. Cette fois-ci non, il a été parfait. Mike Smith aussi sur le banc d’en face, il n’y avait juste rien à faire contre ces Packers là. La saison d’Atlanta est donc terminée et elle laisse un goût amer dans la bouche de tous les analystes. Comment cette équipe a pu en arriver là et faire ça. Les Falcons c’est avant toutes choses quatre joueurs: Matt Ryan (QB), Roddy White (WR et unique joueur d’Atlanta à faire le Pro Bowl), Tony Gonzalez (TE) et Michael Turner (RB). A côté de ça il n’y a rien. Une défense qui a bien tenu le choc mais plus par l’excellence du coordinateur défensif Brian VanGorder qui sait appeler les bons jeux au bon moment permettant de prendre peu de points. Par contre l’équipe est en deuxième partie de tableaux statistiques dans pratiquement tous les secteurs de jeu défensif. Il n’y a pas de miracle, lors de ce match la défense devait exploser, c’était écrit. Cinq Touchdowns de suite, sans que l’attaque ne puisse répondre, c’en était trop pour Atlanta. La saison prochaine risque d’être moins drôle pour Mike Smith et Matt Ryan. Les Buccaneers seront affûtés, les Saints remontés, si, en plus, la saison 2011 comptera 18 matchs, ça sera long, très long.
Il sait passer, mais également courir Aaron Rodgers, deux Touchdowns à la course ce samedi
Il y aura trois héros en défense chez les Packers dimanche prochain. Clay Matthews, Charles Woodson et Tramon Williams, des sacks et des interceptions, c’est écrit. Ne vous méprenez pas par rapport à ce que j’ai écrit auparavant, ça va être un match extrêmement serré, indécis, physique. Tous les voyants sont au vert pour Green Bay afin d’accéder au Super Bowl pour la première fois depuis la défaite au Super Bowl 32 en 1997 (enfin, février 98). Treize ans que le Wisconsin attend ça, quatorze ans pour la dernière victoire. A l’époque c’était un certain Brett Favre, aujourd’hui Rodgers prend gentiment la place de Brett dans le coeur des gens du Wisconsin. C’est le moment pour faire quelque chose de grand, surtout que les moyens ils les ont. Il faudra néanmoins que l’attaque ne se laisse pas piéger par la grosse défense des Bears. Si la ligne offensive et Rodgers arrivent à gagner du temps pour que les receveurs trouvent les espaces dans le backfield adverse, ils ne feront qu’une bouchée des oursons de Chicago, dans le cas contraire ça va se jouer à un field goal.
Si les deux parties en NFC ont été dans un sens, le gagnant était déjà connu à la mi-temps, il en a été tout autre du côté de la AFC. Les Ravens arrivaient avec de grosses intentions à Pittsburgh. Depuis la victoire de Baltimore au Super Bowl 35 en 2000 (février 2001), ils ont participé cinq fois aux playoffs, et ont été éliminés deux fois par les Steelers. Notamment deux ans en arrière lors de la finale de conférence, il y avait 16-14 pour Pittsburgh lorsque Flacco s’était fait intercepter par Polamalu pour un Touchdown et la fin des rêves de Super Bowl. C’est deux grosses rivalités qui s’affrontaient samedi et dimanche. Gardons le plus beau pour la fin.
Pittsburgh Steelers 31 – Baltimore Ravens 24
James Harrison, la machine à sack chez les Steelers!
Il y avait 21 à 7 à la mi-temps. Deux Touchdowns d’avance pour les Ravens. Baltimore a été réduit à 39 yards lors de la seconde mi-temps. Ça résume bien la présence défensive qu’a eu Pittsburgh lors de la seconde période. Surtout le job fantastique des coachs à l’heure du thé pour ressouder l’équipe autour de l’objectif. Harrison a juste été le meilleur homme sur le terrain, trois sacks pour une perte de 21 yards chez les Ravens, impressionnant. Le match avait été comme programmé pour connaître la plus grosse défense de la AFC. A ce petit jeu Pittsburgh a gagné. Ne parlons pas des deux attaques, qui, malgré sept touchdowns n’ont pas été à leur avantage. Big Ben a été sacké à six reprises ce qui représente un cinquième des sacks de toute sa saison régulière. Lui qui est connu pour être le Quarterback le plus difficilement sackable de la ligue ne tient plus aussi bien sur ses jambes depuis sa blessure à la cheville.
J’aimerais revenir sur le quatrième quart. Pittsburgh mène de trois points alors qu’il reste dix minutes à jouer, ils sont obligés de dégager le ballon, Lardarius Webb le Cornerback est à la réception et revient pour un Touchdown. Un drapeau jaune est signalé. En toute honnêteté l’arbitre est à même pas dix mètres de l’action, nous, devant notre poste de télé on a rigolé en voyant le joueur de Pittsburgh se laisser tomber tel un Christiano Ronaldo cherchant à gagner du temps à la fin d’un match. Ça se voyait depuis les caméras tout en haut du stade qu’il n’y avait pas de holding de la part de Marcus Smith sur Will Allen. Les arbitres en ont pensé autrement. Est-ce que cela aurait changé la physionomie du match? Certainement. Est-ce que les Ravens auraient gagné? Plus difficile à répondre, ils auraient eu quatre points d’avance avec six minutes encore à jouer et les Steelers qui auraient laissé leurs tripes sur le terrain pour aller chercher la victoire. Le problème dans cette affaire c’est que l’équipe d’arbitres de Jeff Triplette n’en est pas à son coup d’essai, c’était déjà Craig Wortstad son Field Judge qui avait pénalisé Ndamukong Suh lors du match Bears – Lions d’une faute sur le Quarterback (Jay Cutler) alors que ce dernier était dans une course et donc tacklable comme n’importe quel autre joueur. Puis ce fut Jeff Triplett qui offrit sur un plateau la victoire aux Giants face aux mêmes Lions lors de la week 6. C’est toujours autour de cet arbitre et des son groupe que les décisions les plus litigieuses sont prises. Sûrement que samedi cela n’aurait rien changé, il faut le souligner, mais ça fausse une partie et ça c’est inacceptable.
New England Patriots 21 – New York Jets 28
La force n'a pas été avec lui...
Quel match de la défense des Jets, quel match de Mark Sanchez, quel match de Rex Ryan. Les mots sont ce qu’ils sont et on peut dire qu’ils ont été échangé avec virulence lors de la semaine précédant le match. Faut-il encore que les mots soient en accord avec ce qu’il se passe sur le terrain. Lorsque Rex Ryan ressasse qu’il n’a pas peur de Tom Brady, que sa défense est prête, que Belichik est le meilleur coach de l’histoire mais que sur un match il peut être meilleur que lui, ce sont des phrases qui sont suivies par des actes lors du match. Quand Tom Brady dit que Revis et Cromartie ne lui font pas peur, que Shaun Ellis ne l’attrapera jamais parce qu’il a la meilleure protection de la ligue, ce n’est pas suivi par les faits. Les Patriots ont oublié une chose fondamentale, ils ont une des plus mauvaise défense de la ligue et leur attaque est composée de rookies. Brady sacké cinq fois dont deux par Shaun Ellis, intercepté une fois alors qu’il est le Quarterback le moins intercepté de la ligue. Il a eu un temps de pocket réellement incroyable, parfois à la limite des dix secondes, le résultat de tout ça: 29 passes réussies sur 45 tentées pour 299 yards et une deuxième élimination d’entrée en playoffs en deux ans. Au revoir Brady Doll et à l’année prochaine.
Les Jets eux s’en vont pour la deuxième année de suite en finale de conférence. Si je vous dis que Mark Sanchez est le deuxième Quarterback de l’histoire à faire deux finales de conférence de suite lors de ses deux premières années dans la ligue, devinez qui fut le premier… dix secondes de réflexion… Eh oui! C’était Ben Roethlisberger en 2004 et 2005 et devinez quoi! Il avait gagné le Superbowl la deuxième année face aux Seahawks. Le fan des Jets cherchant à être un brin objectif est en train de perdre le contrôle désolé.
LT et Mark Sanchez, le duo gagnant pour les Jets cette année?
Plus sérieusement les similitudes entre les deux équipes ne s’arrêtent pas là. Entre les Steelers de 05 et 08 et les Jets de cette année il y a de très bons receveurs. Hines Ward, Antwaan Randle El et Santonio Holmes pour les Steelers, le même Holmes, Braylon Edwards, Jerricho Cotchery et Dustin Keller pour les Jets. Une très bonne défense contre la course des deux côtés. De très bon secondaries avec Revis et Cromartie pour les Jets et Polamalu pour les Steelers, ce que les Jets ont en plus c’est le jeu à la course grâce à Tomlinson et Greene qui revient fort dans ces playoffs. Le Heinz Field a déjà tremblé ce samedi, il va s’écrouler ce dimanche. Si New York gagne le trophée d’AFC, ils auront battu en playoffs les sept derniers vainqueurs et représentants AFC au Super Bowl. Les Colts tout d’abord, deux trophées (2009 et 2006), les Patriots, trois trophées (2003, 2004, 2007) et suivant comment, les Steelers, deux trophées (2005 et 2008).
Les Steelers sont très forts dans leur enceinte, surtout en playoffs. Même si les Jets rentrent bien dans le match, il suffit de voir le retour qu’ont fait les Steelers face aux Ravens pour comprendre que ce n’est jamais gagné face à eux. Même si Big Ben et la ligne offensive a eu de la peine face à Baltimore ça ne veut pas dire que Pace, Pouha, Coleman et Ellis vont passer à travers la garde comme on entre à la Poste. Ce n’est pas parce que Revis et Cromartie ont mis à mal le meilleur Quarterback de la saison qu’ils vont faire un festival face à Big Ben. Le problème des Jets réside dans l’inconstance de l’attaque. Ils étaient venus gagner au Heinz Field lors de la Week 15, mais les circonstances ne sont plus les mêmes, loin de là et même si New York, cette saison, a toujours su malmené les grosses défenses pour souvent ne pas trouver la faille contre les faibles, ça ne signifie pas que ce sera une partie de plaisir. Si l’année passée on avait senti Rex Ryan et Matt Sanchez après la victoire sur les Chargers comme s’ils avaient réussi leur saison et la finale de conférence se présentait comme un bonus, cette année je peux vous assurer qu’ils sont déjà en ce moment au travail pour trouver la faille et faire de cette finale de conférence l’apothéose d’une très belle saison.
Nous vous avons assez ressassé au fil de la saison que nous vivions la plus belle saison depuis bien longtemps. Les matchs de ce week end, en particulier en AFC nous prouvent encore une fois que cette année est à marquer dans la pierre. Je peux déjà vous annoncer que quelle que soit l’affiche du Super Bowl, vous aurez le droit à un match fantastique. Ce n’est pas pour autant qu’il faut zapper les rencontres de la semaine prochaine, ça va être des combats d’une rare intensité, c’est Lebronmeetspeyton qui vous le garantis.
Le programme du dimanche 23 janvier est celui-ci (GMT+1 / CET / matchs diffusés sur ESPN America)
- Chicago Bears – Green Bay Packers (21h)
- Pittsburgh Steelers – New York Jets (00h30)
Je tenais juste à spécifier avant qu’on me le demande que le Super Bowl, le 6 février, sera diffusé en Français sur W9 (disponible sur Swisscom TV, Cablecom et Naxoo en Suisse), en Anglais sur la BBC et Sky Sport (toujours via les opérateurs mentionnés), en Allemand sur ARD (disponible via le téléréseau en Suisse), sinon, évidemment sur ESPN America.
BREAKING NEWS: Brett Favre est définitivement en retraite, il a signé les papiers avec la ligue hier, cette fois-ci on ne le reverra que sur les plateaux de télévision. Un article lui sera consacré ces prochaines semaines.